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Historique
La fondation de la Petite Eglise remonte à la révolution française et à la première république. Depuis la création du royaume de France, le pouvoir politique et le pouvoir religieux se confondaient à tel point que la spiritualité des uns était volontiers niée au profit de l'intérêt matériel des autres. Cette situation devait détourner de la foi de nombreux chrétiens, ces derniers confondant très souvent le bien-fondé des saintes écritures avec le mercantilisme de certains ecclésiastiques. Aussi, le 12 juillet 1790, l'assemblée nationale Française promulgua la constitution civile du clergé et la nationalisation des biens de l'Eglise, alors premier propriétaire foncier de France. Cette situation, mal expliquée au peuple, allait provoquer, de ce fait, la création de deux Eglises; une Eglise constitutionnelle fidèle à la République et à ses lois, et une Eglise Réfractaire à l'ordre établi. C'est cette dernière qui allait être à l'origine de la révolte vendéenne et de la chouannerie; cette guerre civile allait provoquer la mort directement ou indirectement de plus de cinq cent mille personnes en 5 ans. En 1801, Napoléon Bonaparte, alors ler Consul souhaitant la paix civile, signa, après de longues négociations, le concordat avec le Pape Pie VII rétablissant le culte en France. Les clauses du concordat bouleversèrent l'ancien état de l'Eglise de France. Celles-ci prévoyaient la création de nouveaux diocèses ainsi que la démission de tous les Evêques titulaires des anciens diocèses. L'Etat nommait les Evêques et le clergé qui, en échange, et contre rétribution, prêtaient serment aux lois de la République. La mise en place des dispositions liées au concordat provoqua la déposition de 82 Evêques dont près de la moitié émettront des réclamations canoniques qui resteront sans effet. Dès la publication des réclamations de nombreux prêtres réfractaires. Il recommandèrent aux fidèles de ne pas suivre le nouveau clergé concordataire. Telle est l'origine de la Petite Eglise en France mais aussi en Belgique. En effet, la réorganisation administrative de l'Eglise de France, toucha également le territoire de l'actuelle Belgique, les deux pays ne faisant alors qu'un. En Belgique, un arrêté paru à Bruxelles fin avril 1797, imposa aux prêtres un serment de fidélité et de soumission aux lois de la République. Ceux-ci refusèrent, en grand nombre, et durent dès lors cesser leur ministère. Le coup d'état du 18 fructidor de l'an 5 ( 05.09.1797) ramena les Jacobins au pouvoir à Paris. Aussi, dès la fin 1798, les persécutions se firent beaucoup plus dures. Les prêtres non assermentés durent se cacher et le culte divin se fit clandestinement. Cette persécution religieuse allait se prolonger jusqu'à la fin de l'année 1799, mais entre-temps certains prêtres seront déportés, d'autres, par contre, prôneront la résistance à l'occupant révolutionnaire. Parmi ceux-ci, nous trouvons le chanoine Corneille STEVENS, qui sera dans notre pays l'âme de la résistance, au point d'organiser des communautés de croyants à Namur, Sambreville, Andenne, Huy, Wavre, Halle, Gembloux et Bruxelles. Ils formeront l'Eglise Apostolique, appelée aussi L'EGLISE STEVENNISTE. A partir de 1803, cette opposition deviendra une guerre de résistance systématique aux différents régimes français qui allaient se succéder sur notre territoire. Organisant une véritable Eglise parallèle à l'Eglise officielle, Monseigneur Corneille Stevens sera le Pasteur infatigable de 1 l'Eglise de ceux qui se considéraient comme les seuls vrais croyants. Cette Eglise comptera des communautés, non seulement dans le Namurois, mais également dans le Hainaut et dans le Brabant Wallon où, pourchassé par les autorités, Monseigneur C.STEVENS trouvera refuge. L'opposition des Stévennistes cessa cependant à la chute de l'Empire Français, lorsqu'en 1814 Monseigneur Stevens se ralliera à Monseigneur PISANI de la GAUDE, nouvel Evêque de Namur. Malgré cette union, la Petite Eglise Apostolique continuera d'exister sous l'autorité de son nouveau chef, l'abbé Gilles-François THEYS. En vérité l'Eglise Stévenniste, sous l'impulsion de l'abbé THEYS, devait aller beaucoup plus loin que son fondateur dans ses options fondamentalistes. Elle déclara que le concordat avait cessé d'exister par suite de l'adjonction des articles organiques et que les Evêques, légitimement institués, avaient perdu leur juridiction par leur adhésion à ces derniers. Autrement dit, la réconciliation générale devenait progressivement impossible, malgré les ouvertures faites par le Saint Siège Romain. Par la suite, forte de sa tradition, l'Eglise Stévenniste allait connaître une période d'accalmie qui lui permettra de s'établir et de se structurer sous la direction d'un Consistoire Général à la tête duquel allaient se succéder l'Abbé Gilles-François THEYS à partir de 1816 et l'abbé Philippe WINNEPENNINCKX qui dirigera l'Eglise de 1820 à 1837, année qui verra la concrétisation des rapprochements avec l'Eglise Catholique Gallicane de Monseigneur CHATEL. Ce dernier répondant à la demande des Stévennistes Belges délégua, le 12 août 1837, Monseigneur Julien LEROUSSEAU comme Evêque des Stévennistes de Belgique. Évêque et Président du Consistoire Stévenniste de Belgique, Monseigneur Julien Lerousseau ouvrira un lieu de culte officiel à Bruxelles en 1838 et s'intitulera le continuateur de l'œuvre de Foi fondée 30 ans plus tôt par Monseigneur Corneille STEVENS. A partir de 1860, les communautés Stévennistes cessèrent tous contacts même informels avec l'Eglise Catholique Romaine se confinant dans la pratique des "coutumes" religieuses traditionnelles et dans la lecture des Saintes Ecritures. Faute de disposer d'un Pasteur consacré, les communautés Stévennistes éliront, à partir de 1866, un Père spirituel qui aura en charge la conduite spirituelle des communautés en Belgique. Cette tradition sera maintenue jusqu'en 1969, date où le 13ème Père spirituel, Aimé BAUSIER, sera ordonné prêtre et par la suite consacré Evêque le 1er juin 1971 à Bruxelles par Monseigneur Charles BREARLEY, Archevêque Primat de la Sainte Eglise Vieille Catholique d'Angleterre. Vivant dès lors en inter-communion avec l'Eglise Vieille Catholique, la Petite Eglise Apostolique ajoutera, le 1er septembre 1982, à sa désignation, la mention vieille catholique". Aujourd'hui c'est Monseigneur Christian VESTRAET, dit le " Père Christian" qui veille aux destinées de la communauté des croyants, tout en assumant la charge de 14ème Père spirituel du Consistoire Général des communautés Stévennistes de Belgique. Actuellement, Monseigneur Christian VESTRAET est, par droit de succession, le Pasteur d'une Eglise née à la fois des bouleversements politiques et religieux de la Belgique, et de la fidélité des croyants aux dogmes d'une Eglise postérieure au Concile Vatican I. Aujourd'hui c'est Sa Grâce Rudy JOLY, dit le " Père Rudy" Archevêque Recteur de La Mission Apostolique St Damien de Belgique qui veille aux destinées de la communauté des croyants, tout en assumant la charge de 15ème Père spirituel du Consistoire Général des communautés Stévennistes de Belgique. Il est à noter que la Mission Apostolique st Damien est pleinement une commaunuté dans la mesure où ses Evêques et prêtres sont les héritiers de filiations apostoliques incontestables, tant des Eglises Vieilles Catholiques de l'UNION d'UTRECHT que des Eglises SYRO-GALLICANES issues du Saint Patriarcat d'Antioche. De nos jours, la Mission Apostolique St Damien de Belgique rassemble les chrétiens restés fidèles à l'esprit pur de l'EVANGILE. Elle veut maintenir la foi catholique tout en respectant les aspirations intellectuelles de chacun. Elle admet la liberté pour chacun de choisir entre les doctrines qui sont postérieures aux sept Conciles - EPHESES ( 431) - CHALCEDOINE- (451)CONSTANTINOPLE ( 381 ) - NICEE ( 315 ) - CONSTANTINOPLE (553 ) et NICEE ( 780 ), soit ceux du premier millénaire. La Mission Apostolique St Damien de Belgique est catholique parce qu'elle est universelle. Elle est Apostolique car elle possède, depuis l'Apôtre PIERRE, la succession de ses ordres ecclésiastiques, transmise via le Saint Siège d'Antioche.
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La Mission Apostolique St Damien de Belgique partage sa profession de foi avec l'ensemble des Eglises Chrétiennes. Pour elle, l'Eglise est une assemblée religieuse hiérarchique et visible qui continue l'œuvre commencée par le Christ, Notre Seigneur. Elle connaît plusieurs moyens de grâce : les sacrements, la prière, la parole de Dieu. Les sacrements sont des actions saintes permettant la manifestation et la communication de l'amour de Dieu. La Mission Apostolique St Damien de Belgique délivre neuf sacrements à savoir
1. LE BAPTEME, Par l'aspersion des enfants et des adultes, une vie se donne au Christ, afin d'être nourrie et bénie par LUI, bénéficiant ainsi d'une seconde et définitive naissance leur permettant d'entrer dans le royaume de DIEU. 2. L'EUCHARISTIE, perpétue la dernière CENE et affirme la présence réelle du Christ. 3. LA CONFIRMATION Complément du baptême qui fortifie le CROYANT en LUI insufflant le Saint-Esprit et l'engage pour le reste de l'existence dans la voie chrétienne. 4. LA PÉNITENCE, crée un devoir d'examiner la conscience, de discerner les fautes et de réconcilier le pécheur avec DIEU. 5. L'ONCTION DES MALADES appelle au soulagement spirituel et corporel de tous ceux qui souffrent. 6. L'ORDINATION établit les DIACRES, PRETRES et les EVEQUES. 7. LE MARIAGE appelle la bénédiction de DIEU sur les époux. 8. LE PARDON pour pardonner les autres, il faut avoir la force de se pardonner soi-même et de s'aimer avec nos imperfections et nos qualités. 9. LA RECONCILIATION La critique envenime nos relations avec autrui, il nous appartient d'aimer avec amour et détachement.
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TRADITION ET LEGITIMITE La Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique tient ses pouvoirs de l'EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE d'ANGLETERRE. Aussi, avons-nous cru bon d'exposer ici, brièvement, les origines et le pourquoi de l'existence de cette Eglise actuellement séparée de Rome. La Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique tient ses pouvoirs de l'EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE d'ANGLETERRE. Aussi, avons-nous cru bon d'exposer ici, brièvement, les origines et le pourquoi de l'existence de cette Eglise actuellement séparée de Rome. La Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique tient ses pouvoirs de l'EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE d'ANGLETERRE. Aussi, avons-nous cru bon d'exposer ici, brièvement, les origines et le pourquoi de l'existence de cette Eglise actuellement séparée de Rome. La Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique tient ses pouvoirs de l'EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE d'ANGLETERRE. Aussi, avons-nous cru bon d'exposer ici, brièvement, les origines et le pourquoi de l'existence de cette Eglise actuellement séparée de Rome. L'Eglise Vieille Catholique est née à la fois de l'intolérance du Saint Siège de Rome et des manigances des disciples de Saint Ignace de LOYOLA. En effet, il était de tradition au sein de l'Eglise de Hollande d'élire son Archevêque au Siège d'Utrecht, mais en 1703 le Vatican s'y opposa pour des motifs politiques. Après 20 ans d'atermoiement, le Chapitre passa outre et élit en 1723 son Archevêque en la personne de Mgr.Cornelius STEENHOVEN à la grande fureur des Jésuites. Le Vatican condamna cette décision tout en reconnaissant la validité de l'Episcopat du nouvel Archevêque. L'Eglise d'UTRECHT poursuivit son existence teintée parfois d'un rigorisme très Janséniste. En 1870, lors du Concile VATICAN I, l'infaillibilité Pontificale fut admise à titre de dogme par l'Eglise Catholique Romaine. L'Eglise d'Utrecht dénonça une fois de plus le manque de conciliarité de l'Eglise et rejeta cette nouvelle décision d'absolutisme. Cette prise de position de l'Eglise d'Utrecht sera le ferment de la naissance de l'Eglise Vieille Catholique, non seulement aux Pays-Bas, mais aussi en Allemagne, Autriche, Suisse, Pologne, Tchécoslovaquie et aux USA. Le 24 septembre 1889, les différentes Eglises Vieilles Catholiques souscrirent aux décisions de la Conférence Internationale des Evêques Vieux Catholiques et signèrent une déclaration de principes qui servira par la suite à la mise en place de la COMMUNION DE L'EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE, dite de l'UNION D'UTRECHT. Actuellement, La Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique souscrit toujours aux articles de cette déclaration de principes. En 1908, l'Eglise d'Utrecht, dans un désir d'expansion consacra Evêque Mgr.Henri MATTHEW, qui implanta en Grande-Bretagne une Eglise Vieille Catholique : Eglise, qui, à son tour, conféra les pouvoirs apostoliques à la Petite Eglise Belge en 1971.
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COMMUNION DES EGLISES VIEILLES CATHOLIQUES Déclaration de principes 1) fidélité à l'Eglise primitive des Conciles Généraux du premier millénaire, 2) refus du décret de Vatican I du 18 juillet 1870, sur l'infaillibilité du PAPE, mais reconnaissance du " PRIMUS INTER PARES" (premier entre les égaux) du Pape. 3) refus de la définition de l' IMMACULÉE CONCEPTION DE MARIE dans les termes exprimés par le Pape Pie IX en 18543) refus de la définition de l' IMMACULÉE CONCEPTION DE MARIE dans les termes exprimés par le Pape Pie IX en 1854 4) Répudiation des décrets dogmatiques récents tels que les bulles Il UNIGENITUS" ( 1713), " AUTOREM FIDEI " ( 1794 ),le SYLLABUS ( 1864 ) etc... 4) Répudiation des décrets dogmatiques récents tels que les bulles Il UNIGENITUS" ( 1713), " AUTOREM FIDEI " ( 1794 ),le SYLLABUS ( 1864 ) etc... Il UNIGENITUS" ( 1713), " AUTOREM FIDEI " ( 1794 ),le SYLLABUS ( 1864 ) etc... 5) Répudiation des sanctions disciplinaires du Concile de Trente, mais acceptation de ses définitions dogmatiques "sous réserve de leur concordance avec les doctrines de l'Eglise Primitive. 6) Réaffirmation des dogmes concernant la Sainte Eucharistie. 7) Espoir d'une nouvelle entente des différentes branches de l'Eglise divisée et attachement à l'enseignement de Jésus-Christ, seul remède contre l'incrédulité ou l'indifférence. L'Eglise Catholique Romaine affirme la suprématie et l'infaillibilité du successeur de Pierre, le Pape,d'où la nécessité d'un rattachement à Rome (primitivement spirituelle, puis, au cours des siècles, de plus en plus administrative). Les Eglises Vieilles Catholiques soutiennent au contraire que l'Eglise est d'abord "COMMUNION DE FOI" d'Eglises particulières, dans l'union des Evêques. Seuls les Conciles (ou réunion d'Evêques) représentent légitimement l'autorité de l'Eglise.
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LA SUCCESSION APOSTOLIQUE DE LA PETITE EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE DE LA CONDITION DE VALIDITE DE LA TRANSMISSION DE L'ÉPISCOPAT Celle-ci fut formulée par St.Augustin, Evêque d'Hippone et Docteur de l'Eglise, en rapport avec la réconciliation avec l'Eglise, au Vème siècle, des schismatiques donatistes, et elle est exprimée comme suit : " En vertu du caractère indélébile qui lui a été conféré à sa consécration un Evêque consacré validement, mais excommunié par la suite ou seulement séparé de l'Eglise, garde le pouvoir de transmettre des Ordres valides à d'autres qui, à leur tour, peuvent les transmettre validement, en dépit de leur schisme". Ce fut à la faveur de cet enseignement que le clergé donatiste fut reçu à nouveau dans l'Eglise sans réordination. Cette doctrine Augustinienne précisée par St.Thomas d'Aquin fut définie par le Concile de Trente comme dogme de la FOI. Elle assure la validité et la pérennité de la vie sacramentelle à travers les péripéties de l'histoire de l'Eglise. Il est à noter que pour établir une succession Apostolique valide, il faut reconstituer la lignée des successions jusqu'à l'une des 5 grandes métropoles ecclésiastiques historiques du monde Chrétien, et de là, ipso facto aux Apôtres eux-mêmes, et donc à Notre Seigneur Jésus-Christ.
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SUCCESSION APOSTOLIQUE DE L'EGLISE VIEILLE CATHOLIQUE Monseigneur Gérard GULL Archevêque d'Utrecht de l'Église Vieille Catholique des Pays-Bas, consacra le 28 avril 1908, Mgr Arnold Harris Matthew comme Évêque de l'Église Vieille Catholique d'Angleterre en l'Église Sainte Gertrude d'Utrecht. Mgr. A-H MATTHEW consacra à son tour le 28 octobre 1914,
qui au titre d'Archevêque Primat de la Sainte Église Vieille Catholique d'Angleterre,
consacra le ler juin 1971 à Bruxelles,
au titre d'Évêque Primat de la Petite Église Apostolique,
qui a son tour consacra le 24 mai 1979,
au titre d'Évêque de la Petite Église Apostolique Vieille Catholique,
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ORGANISATION | |
La Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique comprend des Evêchés, paroisses, missions et ermitages. Les Evêques possèdent la juridiction complète, ordinaire et immédiate. Ils veillent sur les élections pastorales qu'ils confirment, en transmettant les ordres sacrés. La Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique comprend des Evêchés, paroisses, missions et ermitages. Les Evêques possèdent la juridiction complète, ordinaire et immédiate. Ils veillent sur les élections pastorales qu'ils confirment, en transmettant les ordres sacrés. La Petite Eglise Apostolique Vieille Catholique comprend des Evêchés, paroisses, missions et ermitages. Les Evêques possèdent la juridiction complète, ordinaire et immédiate. Ils veillent sur les élections pastorales qu'ils confirment, en transmettant les ordres sacrés. | |
Les prêtres sont chargés d'une paroisse ou d'une mission là où la nécessité se fait sentir. Ils peuvent être résidentiels ou missionnaires. Les Diacres aident les prêtres.
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